Revitalise

Revitalise

Du fait de son authenticité, notre nouveau Kombucha Revitalise mérite une page dédiée expliquant en détails ses différences avec les autres parfums ! Pourquoi le Kombucha Revitalise ?

Ce que nous savons...

Une étude récente¹ ² démontre une forte augmentation des maladies inflammatoires dans le monde occidental. Malheureusement, les anti-inflammatoires les plus courants, dits non-stéroïdiens (abréviés AINS) tels que l’ibuprofène, la codéine, l’aspirine, le naproxène et bien d’autres apportent de multiples effets secondaires gastro-entérologiques et cardio-vasculaires indésirables.
D’autres recherches³ sont en cours pour déterminer si les probiotiques peuvent aider à réduire les dommages de l’intestin grêle provoqués par les AINS.

Et le Kombucha alors?

Le Kombucha Revitalise est une version perfectionnée de notre gamme classique grâce à l’action combinée de cinq plantes aux noms peu communs. La griffe du diable, le néverdier, la reine des prés, le curcuma et le gingembre ont été sélectionnés pour leurs capacités à réduire les inflammations et/ou leurs causes, sans effets secondaires. Associés à une fermentation forte, génératrice de probiotiques, nous espérons proposer une alternative* saine et naturelle aux AINS.

Ingrédients principaux


Vous trouverez ci-dessous le descriptif des différentes plantes utilisées dans le Kombucha Revitalise. Vous pouvez aussi directement lire la synthèse.

  1. Harpagophytum procumbens – Griffe du diable : Originaire d’Afrique cette racine peut réduire l’oxydation du corps. Les radicaux libres, cause de l’oxydation, sont piégés par l’action des flavonoïdes, des phénols, et des iridoïdes glycosides contenus dans la griffe du diable. Ces substances inhibent aussi la production de thromboxane, un puissant médiateur de l’inflammation à l’origine de la douleur, de la vasodilatation et de l’augmentation de la pression artérielle. Une oxydation forte peut causer l’augmentation de l’inflammation dans le corps⁴ ⁵. 
  2. Moringa oleifera – Néverdier : Originaire d’Afrique, c’est une des seules plantes dont les racines, le tronc, les branches, les graines et les feuilles peuvent être consommés. Son nom vient de l’anglais « nerver die » signifiant « qui ne meurt jamais ». Les feuilles du Néverdier contiennent beaucoup de phénols qui fonctionnent comme des anti-oxydants et qui, selon les résultats d’études⁶ in vitro et in vivo**, peuvent réduire les marqueurs d’oxydation ainsi qu’inhiber les marqueurs inflammatoires⁷.
  3. Filipendula ulmaria – Reine des prés : Plante commune dans toute l’Europe, elle est utilisée depuis des années contre l’inflammation et la douleur⁸. Ses fleurs contiennent de l’acide salicylique qui est de nos jours dérivé pour la production de l’Aspirine⁹.
  4. Curcuma longa – Curcuma : Ce rhizome originaire d’Inde et de Malaisie a récemment attiré beaucoup d’attention pour ses effets anti-inflammatoires. Une méta-analyse¹⁰ montre les effets du curcuma sur la réduction du taux de TNF-α, un facteur de nécrose tumorale, qui augmente la production des cytokines (des molécules inflammatoires). Le curcuma réduit également le niveau d’interleukine-6, un autre facteur de nécrose tumorale qui contribue également à l’augmentation des cytokines inflammatoires¹¹. La réduction de cytokines implique la réduction de l’inflammation dans le corps.
  5. Zingiber officinale – Gingembre : Originaire d’Inde, cette racine épice est bien connue du grand public pour son goût très prononcé. Une méta-analyse¹² montre les effets du gingembre sur la réduction de sérum protéine C réactive, un marqueur d’inflammation dans le corps. Simultanément, le gingembre supprime la synthèse des prostaglandines¹³, un type de cytokines, par inhibition de cyclo-oxygénase 1 et 2, dites COX-1 et COX-2. Une action étonnamment similaire au fonctionnement des AINS. L’aspirine inhibe le COX-1 et l’ibuprofène (et autres -profènes) inhibent les COX-1 et COX-2 !
  6. La 6ᵉ plante indispensable - le thé : Que serait du kombucha sans thé ? Dans le Kombucha Revitalise nous en avons mis double dose du thé vert qui contient du gallate d’épigallocatéchine, un fort antioxydant !

En bref:
Les effets des cinq plantes que nous avons utilisés dans le Kombucha Revitalise ont été l’objet d’études scientifiques démontrant leur capacité à réduire l’inflammation dans le corps grâce à différents processus bio-chimiques.
La plupart de ces plantes, ainsi que le thé vert, apporte aussi une bonne quantité d’anti-oxydants aident à réduire les inflammations. Elles sont généralement considérées comme bénéfiques pour la santé.

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Ressentis personnels?

Avez-vous ressenti des bienfaits ? Avez-vous ressentis une amélioration de votre digestion?

Coup de boost?

Vous a-t-il donné un bon coup de boost dans la journée ?Avez-vous retrouvé l'énergie physique et/ou mentale qui vous manquez?

Un effet sur votre inflammation?

Avez-vous ressentis le soulagement d’une douleur, d'une gène inflammatoire?

Pourquoi nous reversons 5% des ventes du Kombucha Revitalise à l’association France Spondylarthrites ?

Les spondylarthrites sont des maladies rhumatologiques auto-immunes, manifestées par des poussées inflammatoires. Souvent sous-estimées des médecins, elles touchent près de 300 000 personnes en France et restent très peu médiatisées.


Justin, le producteur de l’Eau à la Bouche, souffre d’une spondylarthrite au niveau de la colomne vertébrale (spondylarthrite ankylosante). Personnellement touché par le sujet, devoir consommer des AINS toute sa vie ne lui semble pas être la solution. Il a alors commencé une série de tests pour tenter de réduire l’inflammation de manière plus naturelle et sans effets secondaires.

Vous pouvez obtenir plus d’informations sur l’association France Spondylarthrites ici.

Note*

*Le Kombucha Revitalise n’est pas un médicament. Il ne remplace pas une prescription médicale. Aucune étude assermentée ne prouve aujourd’hui son effet anti-inflammatoire. Les informations de cette page concernent seulement les plantes qui le compose. Si vous souffrez d’une maladie inflammatoire, vous étés enceinte ou avez une allergie à l’aspirine parlez en à votre médecin.

In vitro: dans l’éprouvette, In vivo: dans les humaines

References :

1. Fumery, M, Savoye, G, Pariente, B, Turck, D & Gower-Rousseau, C 2018, “Épidémiologie et histoire naturelle des maladies inflammatoires chroniques intestinales : 30 ans de registre EPIMAD”, Hépato-Gastro & Oncologie Digestive, vol. 25, no. 2 . voir

2. Shen, S & Wong, H 2016, “Bugging inflammation: role of the gut microbiota”, Clinical & Translational immunology, Vol 5, no. 72. voir

3. Otani, Koji & Tanigawa, Tetsuya & Watanabe, Toshio & Shimada, Sunao & Nadatani, Yuji & Nagami, Yasuaki & Tanaka, Fumio & Kamata, Noriko & Yamagami, Hirokazu & Shiba, Masatsugu & Tominaga, Kazunari & Fujiwara, Yasuhiro & Arakawa, Tetsuo. (2017). Microbiota Plays a Key Role in Non-Steroidal Anti-Inflammatory Drug-Induced Small Intestinal Damage. Digestion. 95. 22-28. voir

4. Langmead, L, Dawson, C, Hawkins, C, Banna, N, Loo, S & Rampton, D 2002, “Antioxidant effect of herbal therapies used by patients with inflammatory bowel disease: an in vitro study”, Alimentary Pharmacology & Therapeutics, vol. 16. voir

5. McGregor, G., Fiebich, B., Wartenberg, A., Brien, S., Lewith, G., & Wegener, T. (2005). Devil’s Claw (Harpagophytum procumbens): An Anti-Inflammatory Herb with Therapeutic Potential. Phytochemistry Reviews, 4(1), 47–53. voir

6. Verma, A. R., Vijayakumar, M., Mathela, C. S., & Rao, C. V. (2009). In vitro and in vivo antioxidant properties of different fractions of Moringa oleifera leaves. Food and Chemical Toxicology, 47(9), 2196–2201. voir

7. Muangnoi, C., Chingsuwanrote, P., Praengamthanachoti, P., Svasti, S., & Tuntipopipat, S. (2011). Moringa oleifera Pod Inhibits Inflammatory Mediator Production by Lipopolysaccharide-Stimulated RAW 264.7 Murine Macrophage Cell Lines. Inflammation, 35(2), 445–455. voir

8. Katanić, J., Boroja, T., Mihailović, V., Nikles, S., Pan, S.-P., Rosić, G., … Bauer, R. (2016). In vitro and in vivo assessment of meadowsweet (Filipendula ulmaria) as anti-inflammatory agent. Journal of Ethnopharmacology, 193, 627–636. voir

9. Harbourne, N., Marete, E., Jacquier, J. C., & O’Riordan, D. (2009). Effect of drying methods on the phenolic constituents of meadowsweet (Filipendula ulmaria) and willow (Salix alba). LWT – Food Science and Technology, 42(9), 1468–1473. voir

10. Sahebkar, A., Cicero, A. F. G., Simental-Mendía, L. E., Aggarwal, B. B., & Gupta, S. C. (2016). Curcumin downregulates human tumor necrosis factor-α levels: A systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials. Pharmacological Research, 107, 234–242. voir

11. Derosa, G., Maffioli, P., Simental-Mendía, L. E., Bo, S., & Sahebkar, A. (2016). Effect of curcumin on circulating interleukin-6 concentrations: A systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials. Pharmacological Research, 111, 394–404. voir

12. Mazidi, M., Gao, H.-K., Rezaie, P., & Ferns, G. A. (2016). The effect of ginger supplementation on serum C-reactive protein, lipid profile and glycaemia: a systematic review and meta-analysis. Food & Nutrition Research, 60(1), 32613. voir

13. Grzanna, R., Lindmark, L., & Frondoza, C. G. (2005). Ginger—An Herbal Medicinal Product with Broad Anti-Inflammatory Actions. Journal of Medicinal Food, 8(2), 125–132. voir

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